Cataratas Iguazu

Les chutes d’Iguazù (Cataratas Iguazu) côté Argentin.

Après 22 heures de bus, nous arrivons à Puerto Iguazu au Nord Est de l’Argentine pour 2 jours.

Le paysage a changé : la terre est rouge, la végétation est dense, il fait plus de 30° et assez humide, d’ailleurs les moustiques se régaleront de notre sang bien chaud : ça friserait même l’orgie (Malarone et anti-moustiques sont plus que nécessaires).

Malgré les deux heures de retard sur l’heure d’arrivée prévue, nous décidons quand même d’aller aux chutes d’Iguazu pour profiter de la demi-journée qui nous est offerte après avoir déposé nos sacs à l’auberge Noélia.

Un bus et 30 minutes plus tard, nous voici à l’entrée du parc (entrée : 500$ par personne,  pour revenir le lendemain à moitié prix il faut faire tamponner son billet à la sortie).

Nous commençons par emprunter à pied le chemin qui longe la voie ferrée du petit train du parc pour nous rendre à la Gorge du Diable « Paseo Garganta Del Diablo », les papillons sont partout, de toutes tailles et couleurs  (Ben : donc on s’arrête prendre des photos toutes les 30 secondes…:) ) mais ne se posent jamais donc photos ratées! Puis, nous prenons des passerelles métalliques d’un kilomètre environ qui passent au dessus du fleuve Rio. Là, nous apercevons oiseaux, tortues et poissons (des Surubis je crois, sorte de poissons chats qu’on retrouve dans les assiettes des restaurants). Nous arrivons à cette fameuse Gorge : le débit de l’eau est impressionnant, les chutes font un bruit assourdissant et beaucoup d’écume et d’embruns, quelle puissance ! Le Brésil n’est pas loin, nous apercevons le drapeau en face!

Ensuite, nous prenons le fameux petit train (longé précédemment) afin de rejoindre le début du Sentier Supérieur, « Paseao Superior »  qui fait 1,7km. On se retrouve face à la largeur des chutes, des enchainements d’arc en ciel. Beaux! Beaux!

En passant, rien à voir avec les Chutes du Niagara, ici pas de fêtes foraines, c’est « assez sauvegardé » même si la forêt diminue plus que dangereusement….

On croisera coatis (cousin du raton laveur qui n’est pas vraiment farouche), un toucan (wahouuu) et des singes capucins bien curieux.

Pour aujourd’hui, la visite se termine, nous rentrons.

Petit restaurant du soir « La Rueda » #OKLM en mode #barbac ! Déco très sympa au passage!

Le lendemain, on décide de se lever assez tôt pour faire le Sendero Macuco, sentier qui s’enfonce dans la jungle et qui se termine par la cascade « Salto Arrechea » (14 km A/R), afin d’éviter le flot de touristes.

Dans le « silence » de la forêt, les singes passent d’arbres en arbres et nous amènent à chuchoter et à apprécier autrement leur présence contrairement à la veille où ils approchaient les visiteurs sans peur. Des chants d’oiseaux, des bruissements de feuilles, des cris (Ben : et quelques « n’allez pas dans les hautes herbes » #LeMondePerdu #répété100fois) rendent cette promenade quelque peu mystérieuse. (Ben : « il se dégagerait presque un petite ambiance à la « Predator », sympa. » )

Nous rejoignons ensuite le Passage Inférieur (et l’affluence de touriste avec) et ce sont des enchainements de vues panoramiques superbes que nous offre cette balade d’1,5 kms un peu plus prés de l’eau et dans la « jungle ».

L’entrée du parc comprend gratuitement la traversée du fleuve afin de se rendre à la « Isla San Martin », mais pas de chance pour nous, l’eau monte, la traversée est fermée pour le restant de la journée.

La visite s’achève, nous prenons le chemin du retour et nous faisons tamponner le sigle du parc sur nos passeports! Contents!

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